Trois frères et soeurs se retrouvent chez leur père après sa mort. Dans cet espace en suspension, les souvenirs rejaïssent. Sous nos yeux, s’incarne toute l’ambiguité des rapports fraternels, à travers la question de la place de chacun dans la fratrie et de la nécessité de se construire une identité propre malgré et avec les traces d’une enfance commune.
Dans ce langage organique, le corps représente la phrase narrative. La parole, le verbe n’interviennent que lorsque c’est nécessaire.
HORS CADRE nous plonge dans les mécanismes de l’enfance et révèlent la construction fragile d’une famille.
HORS CADRE propose un objet de représentation où la poésie des corps emmène vers un « cirque-théâtre » sans référence, en terrain vierge, en terrain à conquérir.
... où le spectateur est libre du chemin à prendre.
Dans ce langage organique, le corps représente la phrase narrative. La parole, le verbe n’interviennent que lorsque c’est nécessaire.
HORS CADRE nous plonge dans les mécanismes de l’enfance et révèlent la construction fragile d’une famille.
HORS CADRE propose un objet de représentation où la poésie des corps emmène vers un « cirque-théâtre » sans référence, en terrain vierge, en terrain à conquérir.
... où le spectateur est libre du chemin à prendre.
dramaturgie & mise en scène | FABRICE MACAUX / CIE CORPUS
assistante à la mise en scène | ORIANNE VILLATTE
avec | MARION LAMBERT, JULIE TAVERT, MICHAËL VESSEREAU
scénographie | THOMAS AMBROSELLI et STUDIO AD HOC
design sonore | YANN SEZNEC
crédit photographique | SIMON LOURIÉ
assistante à la mise en scène | ORIANNE VILLATTE
avec | MARION LAMBERT, JULIE TAVERT, MICHAËL VESSEREAU
scénographie | THOMAS AMBROSELLI et STUDIO AD HOC
design sonore | YANN SEZNEC
crédit photographique | SIMON LOURIÉ